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La passion peut faire passer des avenues. » Après ce bref affaire, Phil envoya un texto communautaire à bien certaines personnes pêcheurs qu’il connaissait, expliquant qu’il cherchait des informations sur des chants entendus l'obscurité, potentiellement circonvoisin de la chapelle ou au très large. Ses alliés marins, bien qu’étonnés par sa questionnement, promirent d’en affirmer à proximité d’eux. Aux environs de midi, alors qu’il dégustait un sandwich au poisson, il reçut une sollicitation inattendu de Julien, un capitaine compétent. « Écoute, Phil, j’ai certaines fois évidemment des sons insolites en mer, comme des gémissements ou des chœurs lointains. Mais c’était en particulier par saisons de brume, tard la nuit. Certains parlent de rochers fendus où le vent s’engouffre, d’autres d’esprits. Qui sait… » Le cœur de Phil s’emballa. Chaque rapport, de plus anodin soit-il, semblait converger poétique la même énigme. Après ce geste merveilleux d'obtenir terminé son repas, il se dirigea versification le musée local, espérant trouver Hubert en plein poste. Ce dernier se trouvait incontestablement dans la salle des archives, penché sur un épais registre. Son bouille s’éclaira en voyant Phil approcher. « Je viens de placer la coeur sur un document rappelant “l’appel de la sirène”, une évènement décrit par certains moines, il y a plusieurs siècles. Ils parlaient d’un chant qui se faisait préférer dans la baie, censé déclarer la côte attaché à les tempêtes. » L’historien leva les yeux, l’air grave. « Ils mentionnaient en plus un conscience inspiré, fait de coquillage ou d’algues déposés dans la chapelle, pour remercier “la Fille des profondeurs”. » Phil relut les lignes jaunies, le cœur serré. Les moines décrivaient une procession, des chants d’imploration et l’apparition d’une voix féminine à bien la marée montante. « C’est propice ce qu’on a ressenti hier soir, » murmura-t-il à Hubert. 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